Pleure pas pour ce gars. Il ne te mérite pas. - Tu le sais bien, Je me fous de ce que tu dis. Je m'en fiche royalement.¸ Peut-être qu'il ne me mérite pas. Qu'il ne me méritera jamais, mais n'empêche que je vais toujours l'aimer. Les garçons qui donnent des câlins à toutes les filles qu'ils voient me dégoûtes, Ils ne se rendent pas
Non, je ne veux plus souffrir... Ma colère est en moi, Le déclic d'une vie absurde, Non, je ne peux plus accepter, La méchanceté, l'hypocrisie, Je veux vivre en paix. Je crie de toute mes forces, Stop, je ne suis pas un punching-ball. Je veux être respectée, J'ai tout donné, Et j'en ramasse plein la face. Non, je ne veux plus souffrir... Supporter certaine personne avec le mal en elle Qui joue avec mes sentiments, Qui s'amuse à me manipuler, Qui sait se faire plaindre, Et toujours le même refrain, Tout retombe sur moi. La gentillesse, l'amour ne payent pas. Je ne veux plus jamais avoir à faire à elle, Ni passer pour une idiote, Ni être le rebuts, Ni prendre tout à la face,des reproches ; Non, je ne veux plus souffrir. Je ne veux plus entendre parler d'elle. Je ne veux plus l'aider, Je ne veux plus ramasser des coups moraux, physiques, Jamais plus, elle ne mettra les pieds chez moi, Jamais plus je ne connaîtrais la souffrance à cause d'elle, Jamais plus je subirais ces sarcasmes, Jamais plus j'ouvrirai mon cœur, Jamais plus je souhaite me trouver en sa présence. Non je ne veux plus souffrir... Jamais je pourrais pardonner le mal que j'ai subi, Jamais j'accepterais de me rabaisser, Jamais personne ne me l'imposera, Je la bannis de mon existence, Je la laisse dans son peu de dignité qu'elle a pour elle, Mais surtout qu'elle ne s'en prenne pas à d'autres, Je serai là pour la remettre en place, Quitte à devoir rendre justice moi-même ? Personne ne touchera à ce que j'ai de plus chère au monde. Non je ne veux plus souffrir... Surtout à cause d'une personne, Une personne sans respect, Une personne sans courage, Une personne sans amour, Une personne manipulatrice, Une personne fainéante, Une personne profiteuse, Non je ne veux plus souffrir... Tous les droits sont réservés © MODVAREIL. FRANCE - 2015
Pourtoi mon que j'aime.tu souffres et je serai toujours là pour toiPour vous tous qui aimez un être en souffrance de dépression ce poème je l'ai dédié et offert à mon amije l'aime et je ne baisserai pas les bras face à cette horrible maladie qui le ronge depuis 8 ans.Pour toi mon amour et pour vous tous qui aimez et qui combattez.Il a aimé Je t'ai aimé dés le premier regard L'exitation et l'angoisse de la rencontre d'un jour Puis la sensation de te connaitre toujours. Je t'ai offert mon coeur,je t'ai offert mon corp, Je t'ai donné ma vie ,je t'ai donné mon ame Je me suis livré sans retenue J'aime l'homme que tu es ,j'en suis épris J'aime ta façon d'etre de pencer Le son de ta voix et la couleur de tes yex J'aime tes baisers et la chaleur de ton corp, Me blottir dans tes bras et bien plus encore Je me suis donnée a toi sans retenu !! Seulement voilà..... je te quitte pleine d'amertume. Je te quitte pour ne pas souffrir Posted on Thursday, 22 October 2009 at 1058 PMEdited on Sunday, 14 February 2010 at 407 PM
Jel’ai quitte je souffre au cerveau. Selam c’est mon cerveau qui souffre pas moi. Je ne l’aime plus. J’ai souffert 1an. J’epargne les details. Je l’ai quitte. Cette relation est morte pour moi. Mais je souffre. La journee j’ai peur de le croiser. J’ai ps envie. Il
poèmes de tristesse C'est marrant, on se trouve toutes les bonnes raisons de s'interdire d'aimer, Par peur de souffrir, d'être abandonné un jour. Et pourtant qu'est-ce qu'on aime la vie, Alors qu'on sait qu'elle nous quittera un jour. Je t'ai rencontré, on est devenus amis, on s'est rapproché, Notre amitié s'est transformée en amour, on était heureux, La jalousie nous a éloignés, on s'est quitté, on se parle plus...Mais ce que je peux dire c'est que depuis le début Je t'aime. je te laisse dans les bras de cette nuit, Je laisse les étoiles veillé sur toi, Je te confie a eux jusqu’à ce que le soleil se lève Et prend la relevé, et le moment venue Je prendrai soin de toi. La joie et la tristesse sont toutes deux des chaînes ; L’une est en or et l'autre est en fer, Mais elles sont également faites pour nous enchaîner Et nous empêcher de réaliser notre vraie nature. Je me souviens encore de ses mains, de son parfum. Je me souviens de tout ce qu'il m'a dit, de ce qu'il m'a écrit. Je me souviens de tout, Le problème est là Avec des souvenirs comme ça, je ne l’oublie pas! Mon âme a une grande faiblesse Dans mon cœur, est gravée une tristesse On cherche toujours de la tendresse Où peut-on trouver alors la caresse D'un amour et d'une politesse Sans avoir aucune adresse. Tu sais que je suis triste sans toi, Je suis malade quand je ne te vois pas, Je pleure quand on ne se parle pas. Mon bébé ne m'abandonne jamais, Tu vois combien je souffre sans toi. Je peux perdre tout ce que j'ai, Mais je ne veux plus jamais perdre quelqu'un comme toi dans ma vie, Tu es la raison pour laquelle je ris, Je souris et je pleure tu es mon cœur je t'aime très fort. Mon cœur cri de douleur Il hurle mes souffrances Mais tu ne les entends pas Les entendras tu un jour??? Avant qu'il ne soit trop tard??? Que la mort me prenne Et m'emporte pour toujours. Sans toi mon sourire n'a plus de valeur Je t'aime et je t’attends au chaud sous ma couette Je fais des cauchemars de plus te revoir. Je pleure je pleure loin de toi je fais que sa... Avec toi c'est le paradis c'est magique à bientôt ta petite femme qui t'aime.
Jespère aussi que tu ne m’en voudras pas. Accepte mon choix comme j’ai accepté les tiens. D’ailleurs, sache que ce n’est pas par choix mais par obligation que je te quitte aujourd’hui. Je ne peux te partager, je t’aime trop pour ça. Et tes belles paroles n’y changeront rien.
Hors ligne 13 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chéri de t'aimer Ma douce éternité Cette nuit j'ai révé A tes baisers sucrés Je t'ai donné mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes désirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai écrit mon amour Je l'ai fait sans détour Tu as crié ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers​ CARLAME Invité Hors ligne Hors ligne 13 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chéri de t'aimer Ma douce éternité Cette nuit j'ai révé A tes baisers sucrés Je t'ai donné mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes désirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai écrit mon amour Je l'ai fait sans détour Tu as crié ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers​Douceur et amour , de magnifiques vers Gaby!😊 Hors ligne 13 Juillet 2019 Douceur et amour , de magnifiques vers Gaby!😊 Merci Véronique pour ton ressenti Bonne journée Gaby Hors ligne 13 Juillet 2019 Merci Carlame de ton passage marqué Bonne journée Amicalement Gaby Hors ligne 13 Juillet 2019 Agréable lecture de bon matin, merci Gaby Merci personne et bonne journée Gaby Hors ligne 13 Juillet 2019 Merci personne et bonne journée Gaby Bon samedi Gaby o Maître poète Hors ligne 14 Juillet 2019 coucou ma Gaby Quelle tendresse en toi ! A chaque fois tes sentiments me touchent ! Gros bisous de ta Rose * qui ne regarde poo le défilé hé hé ! o Maître poète Hors ligne 14 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chéri de t'aimer Ma douce éternité Cette nuit j'ai révé A tes baisers sucrés Je t'ai donné mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes désirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai écrit mon amour Je l'ai fait sans détour Tu as crié ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers​ Hors ligne 14 Juillet 2019 coucou ma Gaby Quelle tendresse en toi ! A chaque fois tes sentiments me touchent ! Gros bisous de ta Rose * qui ne regarde poo le défilé hé hé ! Moi je l'ai regardé ma rose. Merci pour ta gentille appréciation tendresse ma rose gros bisous Ta gaby Hors ligne 14 Juillet 2019 Je ne veux plus souffrir Juste pouvoir mourir Mon chéri de t'aimer Ma douce éternité Cette nuit j'ai révé A tes baisers sucrés Je t'ai donné mon coeur Et toute sa douceur Je t'ai offert ma vie Et son brin de folie Je t'ai dit mes désirs Tu m'as dit ton plaisir J'ai écrit mon amour Je l'ai fait sans détour Tu as crié ta joie Ô combien tant de fois Et maintenant nous deux Nous voguons vers les cieux Ramant sur cette mer Aux doux sons de nos vers​pour quelle raison voulez vous souffrir gentille Gaby, prenez chaque jour de bonheur que la vie vous offre, déguster la, profitez-en , soyez heureuse et ne pensez pas aux jours tristes! votre Éole prend des forces, il grandit, il a beaucoup de pletites plumes sur ses jambres et jusque sur ses pattes, c'est un Marans Gris, ce sera un beau coq! Hors ligne 14 Juillet 2019 pour quelle raison voulez vous souffrir gentille Gaby, prenez chaque jour de bonheur que la vie vous offre, déguster la, profitez-en , soyez heureuse et ne pensez pas aux jours tristes! votre Éole prend des forces, il grandit, il a beaucoup de pletites plumes sur ses jambres et jusque sur ses pattes, c'est un Marans Gris, ce sera un beau coq! Merci Emie pour ton appréciation mais ce n'est qu'un poème Et merci pour les petites nouvellestructures d'Eole .Gaby
Poèmecela+encore - 9 Poèmes sur cela+encore. Poésie française. Liens; A Propos ; Poésie; Rechercher un poème; Poèmes; Poètes; Nouveaux poèmes; Poème cela+encore - 9 Poèmes sur cela+encore 9 poèmes 1 2 3 5 Phonétique (Cliquez pour la liste complète): cela celai celais celait celas celât cel é cèle celée celées celés cèles cella cellas celle celles celui celui-là ciel

Trier par catégorie Rien qu'un petit mot pour te dire que l'on ne t'oubliera pas, que l'on se souvient toujours de tes cheveux blonds, de tes yeux bleus, de ton sourire radieux. Rien qu'un petit mot pour te demander de nous aider à surmonter les rudes épreuves d'ici-bas. Pour te supplier de nous envoyer, du plus profond de ta victoire, ce petit morceau de bonheur, qui s'est perdu dans le labyrinthe de la haine. Rien qu'un petit mot pour t'implorer d'effacer les fissures, les injures, les obstacles, les incompréhensions. Pour te rappeler que l'on compte sur toi, que l'on a besoin de ta force, enfin, rien qu'un petit mot pour t'affirmer que l'on t'aime d'un amour si puissant que le plus grand palais, que le plus pur rubis, n'est, en comparaison, qu'éphémère beauté. Pierre Cocheteux Dans la forêt d'étoiles Il n'y a pas de vent, Pas de tempête noire, Ni d'orage grondant. Mais des branches qui tremblent, Des feuilles, des fruits d'or, Et des musiques d'anges Qu'on entend quand on dort. Dans la forêt d'étoiles, Où rêvent les enfants, Il n'y a que du sable Chaque nuit qui descend. Nous te cherchons partout Nous voici aujourd'hui au bord du vide Puisque nous cherchons partout Ton visage que nous avons perdu. Tu étais notre avenir Et nous avons perdu notre avenir. Tu étais des nôtres Et nous avons perdu cette part de nous-mêmes. Tu nous questionnais Et nous avons perdu ta question. Nous voici seuls Nos lèvres serrées sur nos pourquoi. Nous sommes venus ici chercher Chercher quelque chose Ou quelqu'un. Chercher... Chercher cet amour plus fort que tout. Nous te cherchons partout. Le temps qui passe Et les années qui s'effacent. Le temps qui passe Et nous laisse seuls devant la glace. Les rides au bord des yeux Et dans nos cœurs nos souvenirs. Le temps passe silencieux D'un avenir que l'on ne peut définir. Il passera le temps Il volera notre jeunesse Il volera notre vigueur d'antan A l'affût de la moindre faiblesse. Il passe et passera toujours Mais il ne volera point sa fraîcheur Ne rongera point de son cœur son amour, Ne volera point ni sa grâce ni sa douceur. Il passe et passera encore Mais ça nous est bien égal, Elle restera comme à l'aurore De sa beauté sans égal. Je me souviens de ces moments passés Quand nous parlions sans même nous soucier. Je me souviens de ces instants Qui me restent encore si présents. Des jours heureux et des heures partagées Où nous aimions la vie autant qu'on peut aimer. Je me souviens de mon passé Car ta présence, elle, est restée Dans mon cœur, dans ma vie, Dans ma douleur et dans mes cris. Je me souviens de toi De ta présence et de ta voix. Dans mon cœur, dans ma vie, Dans mes pensées, ton souvenir grandit. Je me souviens de t'avoir tant aimé Qu'à chaque instant, je ne peux t'oublier... Il y aura d'autres étés D'autres grillons feront leurs gammes dans d'autres blés On croisera sur la route d'autres dames Un autre merle inventera une chanson presque la même Un autre monsieur se trouvera là sous cet arbre où je t'aime Une petite fille qui n'est pas née encore fera une poupée en coquelicot à cet endroit précis où ton corps endormi se mêle au long bruit de l'eau On dira mais ce seront d'autres Il faudrait bien un bon coup de pluie ça ferait du bien aux récoltes Les mots feront le même bruit Mais plus personne plus personne ne se servira de mon cœur à moi ni de ta voix à toi qui résonne dans mon oreille et dans mon corps à moi. Claude Roy Pour toi, Prénom , mon épouxépouse et fidèle compagnoncompagne de nos joies et de nos épreuves en cette vie, je te redis tout mon amour. Pour nous, tes enfants, tu demeures à jamais avec nous et tu continues de nous accompagner sur nos routes. Pour toi, qui es notre grand-pèregrand-mère, nous gardons ton souvenir au plus profond de nos cœurs. Pour toi, Prénom, tes parents et amis te redisent en ce jour l'affection et l'amitié qu'ils te portent. Tous s'inspireront de l'esprit dans lequel tu as vécu, afin que leur vie sur la terre devienne plus fraternelle et plus juste. C'est dans le silence, Dans le vide, dans l'absence, Que je pense à toi, Que je te revois. J'erre sans dessein, Je cours, je fuis sans fin Notre rencontre, notre histoire, Notre amitié, ton départ. Ami, je t'aime... Vois mon cœur n'est plus le même... Penser à toi me fait souffrir, De la mémoire, je suis martyre. Mais je veux souffrir, crier, pleurer, Rêver de toi, t'imaginer. Tu es ma substance, ma nourriture. J'ai goûté une amitié si pure. Plus rien ne nous sépare... Même sans se revoir, Il y a une suite à notre histoire. On ne détruit pas une amitié si rare Par la pensée, les souvenirs, Je continuerai à la vivre. Ami, rien ne te remplacera Que tu sois beau, laid, esclave ou roi. Isabelle Jan La mort n’est rien Je suis simplement passé dans la pièce à côté. Je suis moi. Tu es toi. Ce que nous étions l’un pour l’autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m’as toujours donné. Parle-moi comme tu l’as toujours fait. N’emploie pas de ton différent. Ne prends pas un air solennel ou triste. Continue à rire de ce qui nous faisait vivre ensemble. Prie. Souris. Pense à moi. Prie pour moi. Que mon nom soit toujours prononcé à la maison comme il l’a toujours été. Sans emphase d’aucune sorte et sans trace d’ombre. La vie signifie ce qu’elle a toujours signifié. Elle reste ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de ta pensée, Simplement parce que je suis hors de ta vue ? Je t’attends. Je ne suis pas loin. Juste de l’autre côté du chemin. Tu vois, tout est bien. Chanoine Henri Scott Holland 1847-1918 La mort n'est jamais complète, il y a toujours puisque je le dis puisque je l'affirme au bout du chagrin une fenêtre ouverte une fenêtre éclairée. Il y a toujours un rêve qui veille, désir à combler, faim à satisfaire, un cœur généreux une main tendue une main ouverte des yeux attentifs une vie, la vie à se partager. Paul Eluard Seigneur Jésus-Christ, ta Mère était présente au pied de ta croix, et c'était son unique enfant qu'elle perdait... Souviens-toi de sa souffrance et regarde la nôtre viens avec ta Mère nous donner du courage. Souviens-toi de son espérance et accueille la nôtre viens avec ta Mère à la rencontre de Prénom de l'enfant. Toute la joie que Prénom de l'enfant nous a donnée, découvre-la ! Tous les projets que nous avions formés, rends-les plus beaux ! Et toutes les peines que nous avons portées, qu'elles soient oubliées ! Car notre amour ne peut vouloir qu'une chose la vie que Prénom de l'enfant aura eue si courte, qu'elle continue en toi, en Dieu, près de ta Mère... Qu'à sa prière et par ta grâce nous trouvions la force de vivre, pour un jour nous retrouver tous en toi, avec Prénom de l'enfant en Dieu, près de ta Mère... Amen ! Souviens-toi, Seigneur de celle que Tu nous avais donnée et de tous ceux qu'elle a rejoints. Comme elle aimait le faire pour la rencontre, c'est elle qui nous rassemble ce matin pour célébrer son arrivée dans la Vie de Dieu. De nous tous ici rassemblés, souviens-toi, Seigneur ! De toute cette affection donnée et reçue, que Ton Amour a consacrée pour toujours, Seigneur, souviens-toi ! L'amour ne disparaît jamais L'amour ne disparaît jamais, la mort n'est rien. Je suis seulement passé dans la pièce à côté. Je suis moi, tu es toi. Ce que nous étions l'un pour l'autre nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m'as toujours donné. Parle-moi comme tu l'as toujours fait. N'emploie pas un ton différent, ne prends pas un air solennel ou triste. Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Prie, souris, pense à moi. Prie pour moi. Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été, sans emphase d'aucune sorte, sans une trace d'ombre. La vie signifie tout ce qu'elle a toujours signifié. Elle est ce qu'elle a toujours été. Le fil n'est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de ta pensée simplement parce que je suis hors de ta vie... Je t'attends, je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin. Tu vois, tout est bien. Chanoine Henri Scott Holland 1847-1918 Souviens-toi, Seigneur de celle que Tu nous avais donnée et de tous ceux qu'elle a rejoints. Comme elle aimait le faire pour la rencontre, c'est elle qui nous rassemble ce matin pour célébrer son arrivée dans la Vie de Dieu. De nous tous ici rassemblés, souviens-toi, Seigneur ! De toute cette affection donnée et reçue, que Ton Amour a consacrée pour toujours, Seigneur, souviens-toi ! Pour les jours difficiles Cette nuit, j'ai eu un songe je cheminais sur la plage accompagné du Seigneur. Des traces sur le sable rappelaient le parcours de ma vie les pas du Seigneur et les miens. Ainsi nous avancions tous deux jusqu'à la fin du voyage. Parfois une empreinte unique était marquée, c'était la trace des jours les plus difficiles, des jours de plus grande angoisse, de plus grande peur de plus grande douleur... J'ai appelé " Seigneur, tu as dit que tu étais avec moi tous les jours de ma vie, j 'ai accepté de vivre avec toi. Pourquoi m'avoir laissé seul aux pires moments ? " Il m'a répondu " Mon fils, je te l'ai dit Je serai avec toi tout au long de la route. J'ai promis de ne pas te quitter. T'ai-je abandonné ? Quand tu ne vois qu'une trace sur le sable, c'est que ce jour-là c'est moi qui t'ai porté." Poème Brésilien. Une nuit, je fis un rêve Je marchais sur la plage avec mon Seigneur. Sur le ciel noir furent projetés des épisodes de ma vie, comme sur un immense écran. Et sur le sable je voyais à chaque fois deux traces de pas les miens, et ceux de mon Seigneur. Après la dernière scène de ma vie, je me retournai. Je fus surprise de voir par endroits Les traces d’une seule personne. Je me rendis compte que je traversais alors les moments les plus difficiles et les plus tristes de ma vie. Inquiète, je demandai au Seigneur Le jour où j’ai décidé de te suivre, tu m’as dit que tu marcherais toujours avec moi. Mais je découvre maintenant qu’aux pires moments de ma vie il n’y a les empreintes que d’une seule personne. Pourquoi m’as-tu abandonnée lorsque j’avais le plus besoin de toi ? » Il me répondit Mon enfant chérie, je t’aime et je ne t’abandonnerai jamais, jamais, jamais, surtout pas lorsque tu passes par l’épreuve. Là où une seule personne a marqué le sable de ses pas, c’était moi qui te portais. » Margaret Fishback Powers Canada, 10 octobre 1964 Avec pour titre original Je fis un rêve » Prière que peut dire un enfant Je ne les vois plus Quand je pense aux gens que j'ai aimés et qui sont morts, je suis triste, je suis triste de ne plus les voir... J'aimais beaucoup leur sourire et la couleur de leurs yeux. Je suis triste de ne plus jouer avec eux... On riait des heures et des heures. Je suis triste de ne plus aller dans leur maison... Elle était toujours pleine de soleil et de gaieté. Je suis triste car la mort me prive de leur présence. Et si par Toi, ils étaient toujours vivants, ces gens qui ont aimé la vie... Et si tu savais éterniser dans mon coeur la lumière de leur regard, le bonheur de leur amitié et la joie de leur accueil... Alors, avec eux, je te dirai merci, Dieu, Merci de nous faire vivre d'un amour qui ne meurt jamais. Agnès Auschitzk

Jet'ai aimé dés le premier regard, L'excitation et l'angoisse de la rencontre d'un jour. Puis la sensation de se connaître depuis toujours. Je t'ai offert mon coeur, je t'ai offert mon corps, Je t'ai donné mon âme, je t'ai donné ma vie. Je me suis livrée sans retenue aucune, J'aime l'homme que tu es, j'en suis épris. J'aime ta façon d'être, ta
extrait C'est la première fois que je te quitte sans que tu sois là. Je n'entendrai plus ta voix cicatrisée depuis tant d'années, couvrant mal sa blessure d'il y a beaucoup plus d'années, la voix quand je téléphonais de loin et que pour toi c'était fini pour toujours pour quelques jours, qui disait l'injustice et l'abandon contre toute vraisemblance puisque peu de jours après le cours de l'autre injustice, la quotidienne, reprenait, ta voix sans raisons, et tu avais raison tant d'années à l'avance puis-qu'à la fin tu serais abandonnée, tu auras été abandonnée, tu le savais, ta voix asphyxiée par l'absence et l'insensée distance, et la normale, la raisonnable la nécessaire et l'insensée séparation, ton être asséché par la soudaine, évidente, foudroyante fatalité, le manque d'être, le défaut de ce qui avait été promis, le manque à être ensemble, le cruel défaut infligé, l'inflexion victi-maire, ton être infecté de preuves et à la place de l'unisson la réciproque, l'instantanée, la brutale blessure au téléphone, comme dans un assaut de bretteurs vulnérables, touchés, touchés en même temps par la pointe émoussée de l'autre pour la millième fois ô fureur des cœurs mûrs par l'amour ulcérés » c'est la première fois que je te quitte sans que tu sois là pour souffrir, et au lieu d'en recevoir au moins un allégement de peine, de ne plus au moins te faire souffrir, c'est mon abandon, celui que je désirais, citant l'amour taciturne et toujours menacé, qui tord l'éponge du ventre et me change en pleureur, comme si le voyage aggravé tant d'années par ces mauvaises conditions, cette contagion de torts réciproques, y avait trouvé son régime de mélancolie, sa tonalité d'échec inévitable, de quoi se nourrir et céder sans regrets à son interruption. Je me réveille sur la lagune équatoriale, bieji avant leur aube, comme d'habitude, et c'est pour l'anniversaire et son alarme, il y a un mois mourait ma femme, je ne peux dire tu mourais, d'un tu affolant, sans destinataire, et je dis bien mourait», non pas dépérissait ou lisait ou voyageait ou dormait ou riait, mais mourait», comme si c'était un verbe, comme s'il y avait un sujet à ce verbe parmi d'autres. Michel Deguy

poème pour je veux mourir · poeme triste vie · poeme mourir pour ne plus souffrir · je veux mourir texte; Derniers commentaires. c est la vrai Par Anonyme, le 08.09.2018 on ressent du vécu dans ton poème !!! mais il faut lever les yeux dans le ciel voir les etoiles ,les oiseaux , Par kc, le 29.12.2016 il faut comprendre une fois pour toute que ce sentir bien ne peut venir que de nous

60 poèmes <13456Phonétique Cliquez pour la liste complète ! ; ? à ah çà ha haï hâté hi ho hué thé yé-yé entaient entant entend entendaient entendais entendait entendant entende entendement entendements entendent entendes entendeur ... Frappe encor, Jupiter, accable-moi, mutile L'ennemi terrassé que tu sais impuissant ! Écraser n'est pas vaincre, et ta foudre inutile S'éteindra dans mon sang, Avant d'avoir dompté l'héroïque pensée Qui fait du vieux Titan un révolté divin ; C'est elle qui te brave, et ta rage insensée N'a cloué sur ces monts qu'un simulacre vain. Tes coups n'auront porté que sur un peu d'argile ; Libre dans les liens de cette chair fragile, L'âme de Prométhée échappe à ta fureur. Sous l'ongle du vautour qui sans fin me dévore, Un invisible amour fait palpiter encore Les lambeaux de mon cœur. Si ces pics désolés que la tempête assiège Ont vu couler parfois sur leur manteau de neige Des larmes que mes yeux ne pouvaient retenir, Vous le savez, rochers, immuables murailles Que d'horreur cependant je sentais tressaillir, La source de mes pleurs était dans mes entrailles ; C'est la compassion qui les a fait jaillir. Ce n'était point assez de mon propre martyre ; Ces flancs ouverts, ce sein qu'un bras divin déchire Est rempli de pitié pour d'autres malheureux. Je les vois engager une lutte éternelle ; L'image horrible est là ; j'ai devant la prunelle La vision des maux qui vont fondre sur eux. Ce spectacle navrant m'obsède et m'exaspère. Supplice intolérable et toujours renaissant, Mon vrai, mon seul vautour, c'est la pensée amère Que rien n'arrachera ces germes de misére Que ta haine a semés dans leur chair et leur sang. Pourtant, ô Jupiter, l'homme est ta créature ; C'est toi qui l'as conçu, c'est toi qui l'as formé, Cet être déplorable, infirme, désarmé, Pour qui tout est danger, épouvante, torture, Qui, dans le cercle étroit de ses jours enfermé, Étouffe et se débat, se blesse et se lamente. Ah ! quand tu le jetas sur la terre inclémente, Tu savais quels fléaux l'y devaient assaillir, Qu'on lui disputerait sa place et sa pâture, Qu'un souffle l'abattrait, que l'aveugle Nature Dans son indifférence allait l'ensevelir. Je l'ai trouvé blotti sous quelque roche humide, Ou rampant dans les bois, spectre hâve et timide Qui n'entendait partout que gronder et rugir, Seul affamé, seul triste au grand banquet des êtres, Du fond des eaux, du sein des profondeurs champêtres Tremblant toujours de voir un ennemi surgir. Mais quoi ! sur cet objet de ta haine immortelle, Imprudent que j'étais, je me suis attendri ; J'allumai la pensée et jetai l'étincelle Dans cet obscur limon dont tu l'avais pétri. Il n'était qu'ébauché, j'achevai ton ouvrage. Plein d'espoir et d'audace, en mes vastes desseins J'aurais sans hésiter mis les cieux au pillage, Pour le doter après du fruit de mes larcins. Je t'ai ravi le feu ; de conquête en conquête J'arrachais de tes mains ton sceptre révéré. Grand Dieu ! ta foudre à temps éclata sur ma tête ; Encore un attentat, l'homme était délivré ! La voici donc ma faute, exécrable et sublime. Compatir, quel forfait ! Se dévouer, quel crime ! Quoi ! j'aurais, impuni, défiant tes rigueurs, Ouvert aux opprimés mes bras libérateurs ? Insensé ! m'être ému quand la pitié s'expie ! Pourtant c'est Prométhée, oui, c'est ce même impie Qui naguère t'aidait à vaincre les Titans. J'étais à tes côtés dans l'ardente mêlée ; Tandis que mes conseils guidaient les combattants, Mes coups faisaient trembler la demeure étoilée. Il s'agissait pour moi du sort de l'univers Je voulais en finir avec les dieux pervers. Ton règne allait m'ouvrir cette ère pacifique Que mon cœur transporté saluait de ses vœux. En son cours éthéré le soleil magnifique N'aurait plus éclairé que des êtres heureux. La Terreur s'enfuyait en écartant les ombres Qui voilaient ton sourire ineffable et clément, Et le réseau d'airain des Nécessités sombres Se brisait de lui-même aux pieds d'un maître aimant. Tout était joie, amour, essor, efflorescence ; Lui-même Dieu n'était que le rayonnement De la toute-bonté dans la toute-puissance. O mes désirs trompés ! O songe évanoui ! Des splendeurs d'un tel rêve, encor l'œil ébloui, Me retrouver devant l'iniquité céleste. Devant un Dieu jaloux qui frappe et qui déteste, Et dans mon désespoir me dire avec horreur Celui qui pouvait tout a voulu la douleur ! » Mais ne t'abuse point ! Sur ce roc solitaire Tu ne me verras pas succomber en entier. Un esprit de révolte a transformé la terre, Et j'ai dès aujourd'hui choisi mon héritier. Il poursuivra mon œuvre en marchant sur ma trace, Né qu'il est comme moi pour tenter et souffrir. Aux humains affranchis je lègue mon audace, Héritage sacré qui ne peut plus périr. La raison s'affermit, le doute est prêt à naître. Enhardis à ce point d'interroger leur maître, Des mortels devant eux oseront te citer Pourquoi leurs maux ? Pourquoi ton caprice et ta haine ? Oui, ton juge t'attend, - la conscience humaine ; Elle ne peut t'absoudre et va te rejeter. Le voilà, ce vengeur promis à ma détresse ! Ah ! quel souffle épuré d'amour et d'allégresse En traversant le monde enivrera mon cœur Le jour où, moins hardie encor que magnanime, Au lieu de l'accuser, ton auguste victime Niera son oppresseur ! Délivré de la Foi comme d'un mauvais rêve, L'homme répudiera les tyrans immortels, Et n'ira plus, en proie à des terreurs sans trêve, Se courber lâchement au pied de tes autels. Las de le trouver sourd, il croira le ciel vide. Jetant sur toi son voile éternel et splendide, La Nature déjà te cache à son regard ; Il ne découvrira dans l'univers sans borne, Pour tout Dieu désormais, qu'un couple aveugle et morne, La Force et le Hasard. Montre-toi, Jupiter, éclate alors, fulmine, Contre ce fugitif à ton joug échappé ! Refusant dans ses maux de voir ta main divine, Par un pouvoir fatal il se dira frappé. Il tombera sans peur, sans plainte, sans prière ; Et quand tu donnerais ton aigle et ton tonnerre Pour l'entendre pousser, au fort de son tourment, Un seul cri qui t'atteste, une injure, un blasphème, Il restera muet ce silence suprême Sera ton châtiment. Tu n'auras plus que moi dans ton immense empire Pour croire encore en toi, funeste Déité. Plutôt nier le jour ou l'air que je respire Que ta puissance inique et que ta cruauté. Perdu dans cet azur, sur ces hauteurs sublimes, Ah ! j'ai vu de trop près tes fureurs et tes crimes ; J'ai sous tes coups déjà trop souffert, trop saigné ; Le doute est impossible à mon cœur indigné. Oui ! tandis que du Mal, œuvre de ta colère, Renonçant désormais à sonder le mystère, L'esprit humain ailleurs portera son flambeau, Seul je saurai le mot de cette énigme obscure, Et j'aurai reconnu, pour comble de torture, Un Dieu dans mon Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 968 votesLa trompette a sonné. Des tombes entr'ouvertes Les pâles habitants ont tout à coup frémi. Ils se lèvent, laissant ces demeures désertes Où dans l'ombre et la paix leur poussière a dormi. Quelgues morts cependant sont restés immobiles ; Ils ont tout entendu, mais le divin clairon Ni l'ange qui les presse à ces derniers asiles Ne les arracheront. Quoi ! renaître ! revoir le ciel et la lumière, Ces témoins d'un malheur qui n'est point oublié, Eux qui sur nos douleurs et sur notre misère Ont souri sans pitié ! Non, non ! Plutôt la Nuit, la Nuit sombre, éternelle ! Fille du vieux Chaos, garde-nous sous ton aile. Et toi, sœur du Sommeil, toi qui nous as bercés, Mort, ne nous livre pas ; contre ton sein fidèle Tiens-nous bien embrassés. Ah! l'heure où tu parus est à jamais bénie ; Sur notre front meurtri que ton baiser fut doux ! Quand tout nous rejetait, le néant et la vie, Tes bras compatissants, ô notre unique amie ! Se sont ouverts pour nous. Nous arrivions à toi, venant d'un long voyage, Battus par tous les vents, haletants, harassés. L'Espérance elle-même, au plus fort de l'orage, Nous avait délaissés. Nous n'avions rencontré que désespoir et doute, Perdus parmi les flots d'un monde indifférent ; Où d'autres s'arrêtaient enchantés sur la route, Nous errions en pleurant. Près de nous la Jeunesse a passé, les mains vides, Sans nous avoir fêtés, sans nous avoir souri. Les sources de l'amour sous nos lèvres avides, Comme une eau fugitive, au printemps ont tari. Dans nos sentiers brûlés pas une fleur ouverte. Si, pour aider nos pas, quelque soutien chéri Parfois s'offrait à nous sur la route déserte, Lorsque nous les touchions, nos appuis se brisaient Tout devenait roseau quand nos cœurs s'y posaient. Au gouffre que pour nous creusait la Destinée Une invisible main nous poussait acharnée. Comme un bourreau, craignant de nous voir échapper, A nos côtés marchait le Malheur inflexible. Nous portions une plaie à chaque endroit sensible, Et l'aveugle Hasard savait où nous frapper. Peut-être aurions-nous droit aux celestes délices ; Non ! ce n'est point à nous de redouter l'enfer, Car nos fautes n'ont pas mérité de supplices Si nous avons failli, nous avons tant souffert ! Eh bien, nous renonçons même à cette espérance D'entrer dans ton royaume et de voir tes splendeurs, Seigneur ! nous refusons jusqu'à ta récompense, Et nous ne voulons pas du prix de nos douleurs. Nous le savons, tu peux donner encor des ailes Aux âmes qui ployaient sous un fardeau trop lourd ; Tu peux, lorsqu'il te plaît, loin des sphères mortelles, Les élever à toi dans la grâce et l'amour ; Tu peux, parmi les chœurs qui chantent tes louanges, A tes pieds, sous tes yeux, nous mettre au premier rang, Nous faire couronner par la main de tes anges, Nous revêtir de gloire en nous transfigurant. Tu peux nous pénétrer d'une vigueur nouvelle, Nous rendre le désir que nous avions perdu… Oui, mais le Souvenir, cette ronce immortelle Attachée à nos cœurs, l'en arracheras-tu ? Quand de tes chérubins la phalange sacrée Nous saluerait élus en ouvrant les saints lieux, Nous leur crierions bientôt d'une voix éplorée Nous élus ? nous heureux ? Mais regardez nos yeux ! Les pleurs y sont encor, pleurs amers, pleurs sans nombre. Ah ! quoi que vous fassiez, ce voile épais et sombre Nous obscurcit vos cieux. » Contre leur gré pourqoui ranimer nos poussières ? Que t'en reviendra-t-il ? et que t'ont-elles fait ? Tes dons mêmes, après tant d'horribles misères, Ne sont plus un bienfait. Au ! tu frappas trop fort en ta fureur cruelle. Tu l'entends, tu le vois ! la Souffrance a vaincu. Dans un sommeil sans fin, ô puissance éternelle ! Laisse-nous oublier que nous avons Malheureux Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 1051 votes<13456Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
msuUEh.
  • mie5qpifad.pages.dev/51
  • mie5qpifad.pages.dev/165
  • mie5qpifad.pages.dev/342
  • mie5qpifad.pages.dev/366
  • mie5qpifad.pages.dev/48
  • mie5qpifad.pages.dev/316
  • mie5qpifad.pages.dev/78
  • mie5qpifad.pages.dev/301
  • mie5qpifad.pages.dev/355
  • poeme je te quitte pour ne plus souffrir